mardi 31 mars 2015

Facebook m’a tuer – Alexandre des Isnards et Thomas Zuber

Dans ma Pal depuis plus de deux ans, j’avais très envie de le lire depuis plusieurs mois mais le manque de temps me faisait repousser la lecture. C’est maintenant chose faîte et j’en suis très contente.




Résumé (présentation de l’éditeur) :
Facebook n'est pas un site Internet. C'est un mode de vie. Réseaux sociaux, sites de rencontres en ligne, jeux en réseau, tchats, smartphone : qu'on le veuille ou non, ces techniques créent de nouvelles habitudes qui révolutionnent nos relations amicales, amoureuses et familiales.
Hier, une soirée privée était privée. Aujourd'hui, vos proches sont tous devenus photoreporters, prêts à publier les photos les plus « délire » de votre crémaillère ou de votre anniversaire. Hier, on pouvait dîner à deux. Aujourd'hui, on ne peut dîner qu'à quatre (vous, lui ou elle, vos deux portables).
Hier, une naissance ou un week-end en amoureux étaient des moments intimes. Aujourd'hui, la génération transparente en fait la chronique sur Internet parce que c'est mignon, parce qu'il n'y a rien à cacher, parce que tout le monde le fait.
On arrête là, vous avez compris. Facebook – plus de 600 millions d'utilisateurs dans le monde, dont 20 millions en France – n'est pas qu'un site Internet. C'est devenu un mode de vie. Soyons transparents ! Soyons « fun » ! Et surtout… restons connectés ! Réseaux sociaux, tchats, e-mails, SMS, jeux en réseau, géolocalisations, rencontres en ligne : la « culture Facebook » gagne toutes les générations et bouleverse nos relations amicales, familiales ou amoureuses. Sans qu’on s'en rende toujours compte. Mais à la vitesse du numérique.
Fidèles à la méthode qui a fait leur succès, Alexandre des Isnards et Thomas Zuber ont rassemblé leurs expériences et celles de leurs proches dans des saynètes truculentes, aussi drôles qu'inquiétantes.


Première phrase :
« Avec L’Open space m’a tuer, des proches et des moins proches nous ont raconté leurs histoires de bureau. »


Nombre de pages :
NIL : 186 pages.


Mon avis :
Voilà un livre dans lequel chacun d’entre nous va se retrouver. Certes, on ne s’identifie pas à tous les chapitres mais si vous lisez ce livre et me dîtes que non vous ne vous vous être vu nulle part, soit vous mentez soit vous vivez dans un autre univers ou à une autre époque…

Dans ce petit essai de moins de 200 pages, les auteurs n’abordent pas seulement la place de Facebook dans notre vie mais plus généralement celle d’internet avec bien sûr Facebook mais aussi Twitter tout comme les sites de rencontres et les différentes applications disponibles sur nos smartphones. Peut-être qu’un autre titre aurait été plus adapté car même si Facebook est très présents il n’est pas l’unique sujet.
C’est donc de la virtualité et de la connectivité dont il est question dans ce livre. Quelles places ont-elles dans notre vie quotidienne, quelles incidences sur nos relations familiales, amicales et amoureuses ?

A aucun moment, je ne me suis ennuyée pendant la lecture. Tout d’abord parce que les pages tournent rapidement toute seules, ensuite parce que le sujet est vraiment très intéressant et bien traité. Pour finir, la mise en scène de personnes pour expliquer rend la lecture réaliste et m’a permis de me reconnaître ou de reconnaître certains amis/contacts.

Pour conclure, j’ai passé un agréable moment de lecture pendant lequel j’ai souvent souri.


Les auteurs (présentation de l’éditeur) :

Alexandre des Isnards et Thomas Zuber, 37 ans, diplomés de Sciences-Po, sont consultants.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
leur site internet


La maison d’édition (site internet) :

« Créée en 1993 par Nicole Lattès, NiL est une petite maison généraliste à forte personnalité qui a rapidement imposé son style dans des domaines aussi variés que celui des documents politiques (Jacques Chirac), des essais (Jean-François Revel, Mathieu Ricard, Axel Kahn), des livres de société (Peter Mayle, Stephen Clarke, Ayan Hirsi Ali), de la littérature française (Jean d’Ormesson, Sophie Fontanel, Jean-Paul Kaufmann ou encore Annie Ernaux et Bruno Tessarech dans la collection « Les affranchis ») ou étrangère (Peter Mayle, Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, Alice Sebold, Mark Haddon).
Cette « petite généraliste » ne se pose pas la question des genres et défend avec passion les regards d’auteurs originaux. Avec une vingtaine de titres par an, elle entend raconter notre époque de la façon la plus attirante pour les lecteurs. »
Elle appartient au groupe Robert Laffont.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
la page Facebook
le site internet


Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez : 




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